Yvette Théraulaz
(publié dans Comédien.ch le 23 mai 2024)
« Interview d'yvette Théraulaz par Marie-Lou Félix / 2024 »
(publié dans Hebdo le 11 déc. 2015)
« Yvette raconte "SA" Barbara côté coeur, de l'amoureuse à l'aimante universelle »
(publié dans Tribune de Genève le 28 nov. 2015)
« Comme le roseau, Yvette plie mais ne rompt pas »
(publié dans Le Temps le 4 oct. 2013)
« Ce dimanche, Yvette Théraulaz reçoit l’Anneau Hans Reinhart, la plus haute distinction théâtrale suisse. »
(publié dans L'Hebdo le 3 oct. 2013)
« Un livre, un spectacle, un prix La chanteuse Yvette Théraulaz est à l'honneur »
(publié dans 24 Heures le 1 oct. 2013)
« La communauté de l'Anneau Reinhart fête la comédienne Yvette Théraulaz »
(publié dans le livre "Histoire d'Elle" de Florence Hügi le 1 oct. 2013)
« On ne s'approche pas d'une étoile sans précaution »
(publié dans Le Temps Sortir.ch le 28 sept. 2013)
« La lauréate de l'anneau Hans-Reinhart 2013 remonte le cours des "années" à Vidy-Lausanne »
(publié dans L'Illustré le 1 sept. 2013)
« Distinction Dimanche à Vidy, la comédienne glissera à son doigt l'Anneau Hans Reinhart, une distinction préstigieuse qui salut ses noces avec la scène. »
(publié dans Le Temps / Sortir.ch le 31 août 2013)
« L'été culturel neuchâtelois révèle de nombreuses pépites »
(publié dans l'Impartial le 5 juil. 2013)
« Une création en guise d’ouverture – Cernier »
(publié dans L'Express-L'Impartial le 18 juin 2013)
« Poésie en arrosoir s'épanouit entre Yvette Théraulaz et Richard Bohringer »
(publié dans 24 heures le 4 févr. 2013)
« Anneau Hans Reinhart 2013 »
(publié dans SWISSINFO.CH le 19 nov. 2001)
« Le Théâtre du Grütli à Genève récompense l'artiste lausannoise Yvette Théraulaz pour l'ensemble de sa carrière de comédienne-chanteuse »
(publié dans TDG le mai 2024)
« Le Genevois Elidan Arzoni livre sa version acérée de «J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne», l’avant-dernière pièce de Jean- Luc Lagarce. Chacune sous son spot, elles sont cinq face au public du Galpon, en habits de deuil, assises en rang de la plus vieille à la plus jeune. Cinq touches noires d’un même piano, qui font sonner tour à tour leurs mélodies indépendantes ou leurs accords dissonants. Deux dièses pour la mère et l’aïeule, trois bémols pour les sœurs. Ponctuée de silences et de soupirs, leur partition chorale s’exécutera la plupart du temps en doubles croches, obéissant à des nuances passant du mezza-voce au fortissimo. Un requiem, en vérité. Le leur: «J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne.» »
(publié dans TDG le juin 2021)
« Le codirecteur de la Comédie Denis Maillefer présente trois soirs durant un impromptu pour célébrer in extremis la renaissance de la nature, du désir et du théâtre. »
(publié dans Tribune de Genève le août 2020)
« À l’Orangerie perche depuis peu une nuée de vieilles dames: une auteure anglaise, trois comédiennes, des spectatrices et une aigle aux ailes infinies, Yvette Théraulaz. »
(publié dans La Pépinière le nov. 2019)
« Certains êtres vous touchent au-delà des mots. Ils vous entrent sous la peau. Ils s’immiscent dans votre chair et se logent là, dans un recoin de votre moelle épinière. Ils attendent – et, doucement, ils vous transforment. Pour moi, Yvette Théraulaz est un de ces êtres-là. »
(publié dans Le Temps le nov. 2015)
« La chanteuse romande chante Barbara avec sa luminosité et son humanité légendaires »
(publié dans 24 Heures le oct. 2013)
« L'artiste lausannoise montre l'étendue de son talent, honorée dimanche par la remise de l'Anneau Hans Reinhart 2013. »
(publié dans le oct. 2013)
« «À ceux qui m’aimeront et à ceux qui m’aimaient, je veux être utile à vivre et à chanter». Extraits de Utile, une chanson de Julien Clerc écrite par Etienne RodaGil, ces mots contiennent l’essentiel d’Yvette Théraulaz: l’amour... et l’art de le dire. »
(publié dans La Marseillaise L'Herault du Jour le juil. 2013)
« Gifle. La comédienne suisse Yvette Théraulaz a subjugué le public. »
(publié dans le juil. 2013)
« Chansons de Paroles, Festival de Barjac »
(publié dans L'Express le juil. 2013)
« Deux jours d'engagement poétique »
(publié dans le oct. 2011)
« Les Années Théraulaz »
(publié dans Le Temps le mars 2004)
« Yvette Théraulaz brûle dans «L'Amour d'un brave type», comédie saisissante à la Comédie Du rarement vu à la Comédie de Genève. Une scène de spiritisme à se tordre: Yvette Théraulaz en nécromancienne extravagante fait parler les morts après la bataille. Et l'un d'entre eux de répondre dans la pénombre: «Voudrais… em… brasser… votre… cul.» »
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